Feu sur la pintade !
Une rafale d’alertes citoyennes tirée par Luc Marchauciel
"Chers lecteurs du site Imposteurs,
Je vais emménager dans une chouette maison, mais qui est à proximité d'un élevage de pintades, volailles particulièrement bruyantes au cri particulièrement peu charmant.
J'ai envisagé les différents moyens de modifier cette situation à mon avantage (érection sur la colline de murs anti-bruits en plexiglas, développement de prédateurs affamés tels que le
renard ou le blaireau, explosion nucléaire, etc.), et j'en suis arrivé à la conclusion que faire circuler de fausses rumeurs sur Internet était encore la méthode la plus en phase avec mon
époque.
J'ai donc rédigé ( et fait circuler) quelques "alertes" comme on en reçoit régulièrement dans nos boîtes mails, mais en y incluant toujours un faux lien Internet permettant à chacun de
vérifier facilement qu'il s'agit bien d'un canular.
Je lance donc ici, avec l'aide précieuse de l'ami Anton, un grand concours de Fakes : faites preuve d'imagination, et que chacun rédige ci dessous un faux communiqué alertant
l'Internaute sur les dangers de la consommation de viande de pintade, afin de me venir en aide dans mon courageux combat écocitoyen (anonyme et virtuel).
Note pour toute personne qui aurait eu l'idée saugrenue de vérifier les informations avant de faire suivre les mails alarmistes, et qui serait ainsi tombée sur ce site
:
il n'y a évidemment aucune raison de se méfier de la viande de pintade,
c'était pour de rire, une sorte de canular pédagogique, pour alerter surtout sur la profusion d'infos non vérifiées..
Luc Marchauciel"
Pintades contaminées : le nouveau scandale sanitaire.
Des expertises indépendantes menées par le CRIIVol ont établi qu'une grande partie des pintades élevées en France, et notamment dans les départements du Sud du pays, sont largement contaminées
par le monoxyde de dihydrogène, substance bien connue pour sa dangerosité à haute dose et pour son utilisation massive dans l'industrie chimique en tant que solvant particulièrement efficace
(voir : www.criivolailles.org ). Une relecture des études publiées, menée par l'équipe de
Christian-Gilles Séralini, conclut à la présence massive en France de cette substance toxique, pouvant aller jusqu'à 80% du poids de la volaille dans certains élevages ardéchois !!!
Le mutisme complice de l'Afssa, ainsi que des revues scientifiques à la botte de l'industrie de l'élevage avicole, nous amène à lancer l'alerte et à organiser une campagne de
contre-information écocitoyenne auprès des consommateurs français et étrangers : au nom du principe de précaution, désormais inscrit dans la constitution, il apparaît indispensable de s'abstenir
de toute consommation de pintade, cette volaille étant particulièrement sensible à la contamination par le monoxyde de dihydrogène.
Communiqué des Copains de la Terre, le 17/12/09
Plus d'informations sur www.copainsdelaterred.org
Des stocks de maïs OGM écoulés en France !
Trouvé sur le site Naturel Progrès (www.naturelprogrès.de). Faites le savoir ! Ne vous laissez pas contaminer ! Exigez de savoir ce que vous mangez !
"On a peine à le croire : malgré l'avis récent du Haut Comité aux Biotechnologies (HCB) relatif au maïs Mon810 de Monsanto, et malgré l'interdiction des cultures OGM ordonnée par le gouvernement,
des stocks de maïs OGM -donc potentiellement très dangereux pour la santé car non naturels - ont été récemment écoulés dans l'Hexagone par des firmes agroalimentaires cherchant à rentabiliser ces
productions dont personne ne veut. Selon nos informations, qui ne tarderont pas à être confirmées par les médias grand public, ces stocks de maïs contre-nature ont été notamment livrés à des
élevages de pintades, dans plusieurs départements du sud de la Loire. Les firmes ont profité des fêtes de fin d'année pour abuser les éleveurs débordés par les commandes à cette époque. Les
volatiles ont donc été contaminés par un aliment dont nous ne connaissons pas encore les effets, si ce n'est que nous savons qu'il provoque de graves mutations internes qui peuvent être
transmises à l'homme (voir à ce sujet les travaux du CRIIGEN). Nous ne voulons pas être des mutants, nous voulons contrôler notre alimentation pour rester des êtres humains naturels !
Aussi, dans le doute, Naturel Progrès conseille de s'abstenir en cette fin d'année de consommer toute volaille, et notamment de la viande ou des œufs de pintade.
Les lecteurs trouveront sur notre site des conseils pour dénicher des produits de substitution pour cuisiner les plats adéquats, à partir notamment de tofu biologique.
Naturel Progrès, le 15 décembre 2009"
Où sont passées les doses de vaccins contre le H1N1 ?
Tout le monde se souvient de la commande de 120 millions de doses de vaccin contre la grippe A effectuée avec
fracas par le gouvernement français en juin dernier sous la pression de laboratoires pharmaceutiques trop heureux de pouvoir remplir leurs carnets de commande dans un contexte d'hystérie
médiatique relayant à tout crin la propagande pasteurienne pro-vaccination.
Et depuis...
Depuis, il s'est avéré que la terrible menace n'était qu'une grippette, comme l'ont reconnu certains membres du gouvernement eux-mêmes (par exemple Madame Nadine Morano, qui est sur ce plan
comme sur d'autres une goutte de clairvoyance dans un océan de bêtise).
Depuis, la campagne de vaccination de masse obligatoire s'est révélée être un échec complet, grâce à la résistance courageuse de la population, qui a été heureusement bien informée grâce à un
certain nombre de réseaux et de chaînes de solidarité développées sur Internet.
Depuis, on a appris que ce vaccin inutile et plus dangereux que la maladie elle-même était suffisamment efficace pour agir avec une seule injection... et que les stocks servant à la deuxième, qui
avait été prévue, sont donc inutiles.
Depuis, le complot pasteurien a été éventé... et le gouvernement se retrouve avec sur le bras des dizaines de millions de doses inutiles -du fait de l'injection unique mais ausi du refus massif
de la population de tomber dans le panneau - ... doses dont il faut bien faire quelque chose, rentabilité oblige.
Selon une enquête menée par le journal en ligne "L'écocitoyen vigilant" (www.ecocitoyenneteetvigilance.com), les stocks de
vaccin surnuméraires ont été écoulés auprès des agriculteurs français, avec la complicité de la FNSEA (qui, comme chacun le sait, dispose de participations croisées dans plusieurs
laboratoires phamaceutiques, mais aussi de solides appuis au gouvernement), en les faisant passer pour des vaccins contre la fièvre aphteuse - qui sont obligatoires, là aussi le choix n'est pas
permis. Ainsi, des millions de bêtes ont reçu à leur insu une dose de ce vacin dont on ignore encore complètement les effets (même si l'on sait que les adjuvants type squalène qui y ont été
ajoutés, encore une fois au nom du profit , en font un cocktail détonnant du point de vue sanitaire).
Et c'est là que le danger est grand.
En effet, il a été prouvé, notamment dans la revue "Tout est à nous", qui s'appuyait sur un article de la prestigieuse revue scientifique "Nature", que le virus de la grippe H1N1, qui est le même
que celui qui a frappé l'Europe lors de la grippe dite "espagnole", est une création artificielle provoquée par l'élevage porcin industriel, l'origine de l'épidémie étant située au Mexique dans
un village hébergeant un tel élevage symbole de la barbarie productiviste. Or, les premiers résultats d'expertises indépendantes montrent que la vaccination des volailles contre le H1N1
pourrait favoriser une nouvelle recombinaison du virus avec celui, bien plus dangereux, de la grippe aviaire. Il semble que les élevages de pintades soient particulièrement concernés, celles-ci
fréquentant volontiers leurs cousines sauvages revenues d'Asie au retour des beaux jours.
Deux mesures préventives, que chacun peut faire connaître en faisant circuler ce mail, semblent particulièrement adaptées :
1) Du côté des agriculteurs, il semble qu'il soit encore temps de construire d'ici à mars des abris totalement hermétiques permettant de confiner les volailles, et avant tout les pintades, dès
les premiers jours du printemps. En tout état de cause avant les grandes migrations aviaires... qui sont aussi celles des virus.
2) Du côté des consommateurs, deux recommandations principales peuvent être avancées (consulter l'ensemble des recommandations sur notre site www.ecocitoyenneteetvigilance.com) :
- préparer son corps à combattre l'éventuel virus mutant, par exemple par un traitement de fond homéopathique spécialement adapté (sur lequel travaillent déjà les laboratoires Boiron et
Lehning)
- en cas de non respect des mesures de sécurité, sous la pression probable du lobby de l'industrie agro-alimentaire, il faudrait alors s'abstenir de consommer toute viande de volaille, et
notamment de pintade.
Nous avons connu la vache folle, nous ne voulons pas manger de la pintade folle ! Faites le savoir autour de vous !
Des effets de Tchernobyl se révèlent plus de 25 ans après
Tout le monde connaît le refrain inventé par les autorités françaises à l'époque, qui nous l'avaient seriné sur tous les tons : "le nuage de Tchenobyl s'est arrêté à la frontière"
Hé bien non !
Des experts indépendants du CRIICRAD viennent de démontrer ce qui avait jusque là été soigneusement nié par les autorités successives :le nuage de Tchernobyl est bel et bien passé sur la France, et ses effets différés se font encore sentir de nos jours de manière surprenante et inquiétante (voir le site www.criicrad.com ).Dans un travail mené en commun avec les spécialistes (indépendants) des ondes magnétiques regroupés dans le CRIIREME (www.criireme.org ), ces scientifiques professionnels ont établi que les micro-mutations successives qui se sont produites chez les volailles françaises depuis 1986, suite au passage du nuage, ont des conséquences néfastes sur la santé de ces animaux consommés par les humains. Lorsqu'elles sont couplées depuis une dizaine années avec le bain d'ondes électro-magnétiques qu'est devenu un Hexagone envahi par des antennes-relais installées sans contrôle et sans normes de sécurités, ces micromutations - on parle d'ailleurs de plus en plus de nanomutations, ce qui est encore plus inquiétant car encore moins décelable - se traduisent par d'importantes perturbations du système endocrinien des oiseaux d'élevage, dont le taux de somatrine - une substance toxique pour l'humain - a considérablement augmenté depuis 20 ans, selon les dernières analyses publiées dans la revue scientifique Nexus.
En conséquence de quoi, il apparaît prudent, au nom du principe de précaution, et afin de ne pas être soi-même victime de nanomutations, de s'abstenir de consommer des volailles d'élevage, et notamment des pintades, dont l'estomac produit plus encore de somatrine que les poules ou les dindes.
Merci de le faire savoir autour de vous, l'Union Europénne refusant de définir les taux de somatrine acceptables dans les volailles d'élevage, sous la pression du lobby de l'agri-volaille industrielle. Il ne reste donc que l'information objective et indépendante des réseaux Internet pour que le consommateur puisse exercer sa vigilance solidaire.