Des ouragans féminins plus meurtriers ? Après le sexe des anges, on s'intéresse au « genre » des cyclones !

Publié le par Anton Suwalki

Avertissement : j'ai quelques problèmes avec le nouvel éditeur d'over-blog, de ce fait , les images et figures proposées n'apparaitront peut-être pas. Je tente de résoudre ça...

Avec toutes mes excuses...

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La diffusion massive sur Internet et dans les médias des résultats d’une étude scientifique ne présage en rien de la robustesse de ceux-ci. Le caractère sensationnel des résultats, et leur lien avec les modes intellectuelles du moment semblent beaucoup plus déterminants.

 

Une étude parue dans la -pourtant réputée- revue scientifique américaine PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences) reflète bien ce biais regrettable (1). Leur auteurs, sont Jung, Shavitt, Viswanathan, et Hilbed. Bien que leurs compétences ( ?) aient peu avoir avec le domaine étudié (les « ouragans » ou « cyclones »), l’étude qu’ils ont publiée a reçu une très large publicité. Pourquoi ?

 

-Des résultats étonnants voire sensationnalistes : les cyclones au nom féminin seraient plus meurtiers que ceux qui portent un nom masculin

-Une question à la mode : les méfaits du sexisme et des supposés « stéréotypes de genre ». L’un des auteurs, Madhu Viswanathan, fait d’ailleurs partie du département « Women and Gender in Global Perspectives » de l’Université de l’Illinois. Tout un programme.

-Un considérable arsenal de statistiques et de « modèles » alambiqués qui servent de rideau de fumée.

 

 

Bref , tous les ingrédients étaient réunis pour faire le buzz. Sur la toile anglophone, la thèse connaît en quelques jours un véritable triomphe. En France, la presse reprend cette thèse, souvent comme une vérité avérée. Certaines revues (2) ont pris la peine de consulter des chercheurs pour leur demander ce qu’ils en pensaient. Il est même des sites féministes (3) pour exprimer de sérieux doutes sur ces très inattendus ravages des « stéréotypes de genre ». Le prétendu quotidien français de référence est moins prudent (4).

 

Stéphane Foucart tombe dans le panneau

 

Après avoir plus ou moins flairé le canular, Stéphane Foucart s’est rendu- sans combat- aux conclusions des auteurs : « S'ils ne formulent pas les choses exactement en ces termes, c'est pourtant bien la conclusion qu'il faut en tirer : le sexisme potache des météorologistes américains a fait des morts, et pas qu'un peu. (..) Le bilan humain des ouragans, assurent-ils en effet, serait plus lourd quand ces derniers portent un nom féminin que lorsqu'ils portent un nom masculin... Nul canular, en réalité. ».

 

Ce résultat, « stupéfiant » selon Foucart, les chercheurs l’attribuent à une perception altérée des risques en fonction des stéréotypes de genre. « L’image de l’homme est souvent associée à la force, la compétence et l’agressivité tandis que celle de la femme est souvent associé à la faiblesse, la douceur et la passivité ». écrivent-ils. De ce fait, on se méfierait moins des cyclones féminins, et on s’en protégerait donc moins. Certes, de tels préjugés peuvent exister, mais de là à imaginer qu’ils conditionneraient à ce point les comportements face à des phénomènes météo extrêmes, il y a une grande marge, que les adeptes du genre franchissent allègrement.

 

D’ailleurs, sans craindre un instant de se contredire, Foucart cite lui-même d’autres stéréotypes qui pourraient être mobilisés pour expliquer des résultats exactement contraires : « De l'après-guerre aux années 1970, les cyclones atlantiques ont été systématiquement baptisés de noms féminins. La raison de ce choix n'a jamais été clairement explicitée par les institutions concernées, le National Hurricane Center (NHC) et la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Mais la probabilité est forte que cet usage soit une sorte de clin d'œil des météorologistes américains – principalement mâles – pour qui la nature féminine est imprévisible et potentiellement destructrice ».

 

Faudrait savoir, les femmes sont elles faibles, douces et passives, ou bien imprévisibles et potentiellement destructrices ? Quels stéréotypes sont les plus répandus ? Comment coexistent dans la société ces stéréotypes contradictoires ? Voilà au moins qui aurait du mettre la puce à l’oreille du journaliste. La croyance en la nature féminine imprévisible, n’a pas été testée au cours des expériences de psychologie de laboratoire. Les résultats et leur interprétation par les chercheurs auraient pu être très différents.

 

 

Les chercheurs n’ont pas oublié les données de la physique, mais presque !

 

Dans une étude qui tient en 6 pages sur un PDF, Yung et al ont testé un nombre invraisemblable d’hypothèses et aligné une quantité de statistiques telle qu’il serait fastidieux de toutes les vérifier . Une question pourtant simple aurait permis de tout régler.

Les données explorées concernent 92 ouragans qui ont frappé le sol américain entre 1950 et 2012. Selon l’encadré, les ouragans « féminins » sont significativement plus meurtriers que les « ouragans meurtriers ». Est-ce seulement vrai ?

 

L’étude est biaisée : entre 1953 et 1979, les ouragans ont tous porté des prénoms féminins. Or, les auteurs écrivent à ce propos : « En séparant les données [en 2 périodes], les échantillons, trop petits, n’ont pas suffisamment de puissance statistique, néanmoins les résultats vont dans le même sens qu’avec l’ensemble des données » (traduction personnelle libre). Joli sophisme !

 

Quelques données :

 

-Si on se penche sur les données de la période d’alternance entre noms féminins et masculins, le nombre moyen de victimes par cyclone est de 16: Le nombre moyen de victimes est légèrement supérieur pour les cyclones féminins que pour les cyclones masculins (respectivement 17 et 15), mais cette différence n’est pas statistiquement significative. 12 cyclones ( sur 54) dépassent cette moyenne, cumulant 78% des victimes de la période. 6 masculins (rangs 2,3,5,6,10,12) et 6 féminins (1,4,7,8,9,11)…

 

-Entre 1950 et 2012, 7 cyclones sont responsables (sur 92 !) à eux seuls de la moitié des victimes.

 

On aurait pu s’arrêter là. Quand le phénomène étudié est concentré sur un petit nombre de cas, on devrait commencer par se demander ce qui explique leur caractère exceptionnel : s’agit-il de cyclones de très forte intensité ? Quelle zone a été balayée ? A-t-elle touché des habitats et des populations particulièrement vulnérables ? L’action publique a-t-elle été défaillante ? Ces questions ne sont même pas abordées dans l’étude.

 

Les chercheurs n’ont toutefois pas totalement oublié la physique. Dans une analyse sommaire des données de base, ils trouvent -O’ surprise !- un lien important entre le nombre de victimes, les destructions matérielles (5) et la catégorie du cyclone, ou l’importance de la dépression (6). « As expected » (comme attendu), commentent-ils. Mais cette concession à l’objectivisme est de courte durée.

 

Yung et al. évoquent en effet des « interactions » (sic !) entre l’indice de masculinité/féminité des cyclones (dont nous reparlerons plus loin) et la pression minimum . Selon nos calculs sommaires, la corrélation entre les deux est ridiculement faible et non significative (coefficient de Pearson=-0,03).

 

Mais admettons qu’elle existe comme le prétendent les auteurs : comment passer d’une corrélation à une « interaction » , qui signifie action réciproque ? Qui peut imaginer que le prénom donné par des météorologues facétieux à un cyclone va amplifier ou modérer l’ampleur de la dépression (7) ? Visiblement animé par l’envie de démontrer à tout prix leur thèse, Yung et al. construisent un modèle capillotracté qui leur permet, allègent-ils, de prédire dans une large mesure l’intensité d’un cyclone en fonction du MFI.

 

L’indice de masculinité/féminité, késako ?

 

Pour bâtir leur indicateur magique, Yung et al. ont réuni 9 sujets et leur ont demandé d’évaluer sur une échelle de 1 à 11 la perception qu’ils avaient des prénoms des cyclones (1= très masculin 11= très féminin). Soit. Est-il bien sérieux de penser que la perception qu’en ont en 2014, 4 pelées et 5 tondus aurait une valeur prédictive des comportements qu’auraient eu en 1950, ou qu’ils auraient aujourd’hui d’ américains alertés d’un cyclone nommé Lilly (MFI=10,33), plutôt qu’Ivan (MFI= 1,06) ? Ironie de l’histoire, il y a eu une Lilly en 2002 : elle a fait 2 victimes. Ivan en a fait 25 l’année suivante !

 

 

Au moyen d’un « modèle » bien compliqué , les chercheurs prétendent pourtant démontrer que le nombre de victimes des cyclones les plus destructeurs varie très fortement en fonction du MFI. Selon eux, il est estimé qu’en moyenne un cyclone au nom relativement masculin (MFI de 3) causera 15 morts, tandis qu’un cyclone au nom relativement féminin (MFI de 9) en causera 41. Hélas, Yung et al. n’ont pas pris la peine de confronter leurs prédictions fumeuses aux données observées. Si on observe les cyclones au MFI voisin de 3 (2<MFI<4), ils ont fait en moyenne 10 morts, tandis que ceux au MFI voisin de 9 en ont fait 28, sans évidemment, qu’on puisse identifier une relation de cause à effet. Bonjour, la qualité du modèle !

 

Une théorie validée par la psychologie expérimentale ?

 

Validée, c’est ce que prétend Foucart, apparemment victime collatérale du concept de genres cuisiné à toutes les sauces, au point de devenir franchement indigeste.

 

« Pour achever de valider leur théorie, les auteurs ont également conduit pas moins de six expériences de psychologie en laboratoire, interrogeant des centaines de participants confrontés à une même situation d'alerte, le seul paramètre variant étant le nom de l'ouragan. A peu près systématiquement, la prise de conscience du risque est plus élevée lorsque le nom du phénomène est masculin. »

 

Hélas, une théorie qui est invalidée par les observations est une théorie fausse, un point c’est tout. La connotation du prénom donné à un cyclone n’a aucune influence statistiquement vérifiable sur le nombre de victimes qu’il fait. Tout le reste est littérature.

 

Il faudrait cependant, expliquer les résultats obtenus au cours de ces expériences . Bien que les résultats n’aient rien de spectaculaires, les perceptions du danger , ou les intentions déclarées par les participants (évacuation ou pas) sont significativement différentes selon le genre, et semblent appuyer la thèse des auteurs en dépit des faits qui ne la confirment pas. Pourquoi ces différences ?

 

Risquons une explication. Lorsque, bien au chaud dans une pièce, on est interrogé à propos d’un phénomène dont la seule modalité qui change est le nom, masculin ou féminin, celui-ci est aussi le seul paramètre susceptible d’influencer la réaction. Dans ces conditions, on peut donner une certaine portée aux « stéréotypes de genre » : qu’Yvan (le Terrible) soit perçu comme plus dangereux que (Mère) Theresa, pourquoi pas ? Cependant, il est fort possible que les participants devinent l’hypothèse testée dans l’expérience et se conforment aux attentes des expérimentateurs.

 

En situation réelle, l’information du prénom relève de l’anecdote, par rapport à celles données sur la trajectoire du cyclone, son intensité, les consignes de sécurité etc… En définitive, les supposés préjugés de genre s’effaceraient ou pèsraient probablement très peu, et les dégâts matériels et humains dépendent essentiellement des lois de la physique, même si d’autres facteurs humains ou organisationnels, ou tout simplement la qualité des prévisions qui évolue dans le temps, peuvent être en cause dans les dommages exceptionnels.

 

Ces éléments qui mériteraient d’être approfondis, nous semble avoir une meilleure valeur explicative que le genre. Le très « viril » Denis millésime(MFI= 1,83) n’a fait aucune victime en 1987 , mais son millésime 1999 a fait 56 morts. La douce Diana (MFI = 9,94) a fait 3 morts en 1984, tandis qu’en 1955, la douce Diane (MFI=9,89) en faisait 200 !

 

Canular ou pas ?

 

Non, ça n’a rien d’un canular, nous explique Stéphane Foucart. Pourtant…Yung et al, prédisent en cas de cyclones fortement destructeurs un effet de genre terrifiant. Un cyclone « très féminin » (MFI=11) provoquerait un nombre de victimes plus de 5 fois supérieur à un cyclone » très masculin » (MFI=1). Selon les quelques éléments de méthode décrits, la principale variable explicative selon nous (la pression minimum), a été « neutralisée » à son niveau moyen (964,9 HP) pour mettre en évidence le seul effet du nom du cyclone. Voici la figure publiée par les auteurs :

http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=413814Hur1.png

 

 

Là encore, nous avons voulu confronter ces prédictions aux données disponibles. Nous avons donc retenu tous les cyclones dont la pression minimum étaient assez proche de cette moyenne (entre 955 et 975 HP) , soit 29. Dans cette liste, nous avons gardé seulement ceux dont le niveau de « dégâts normalisés » était supérieur à la moyenne de la série, soit 10 cyclones.

Les résultats sont sur la figure ci-dessous :

http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=651694Hur2.png

 

 

J’offre le champagne au premier qui reconnaît là les prédictions de Yung et al…

 

Alors, canular délibéré, peut-être pas, mais du grand n’importe quoi, ça c’est sûr.

 

La seule preuve apportée par cette étude, c’est qu’une tempête dans un verre d’eau peut se transformer en cyclone médiatique. Les auteurs, qui ne doutent de rien, espèrent que leurs résultats seront pris en compte par les hommes politiques, et par les professionnels de la communication.

 

Les problèmes soulevés par la publication de cette étude sont nombreux :

 

  • l’abus de techniques statistiques « sophistiquées » (selon les termes mêmes de leurs auteurs) sert ici, comme trop souvent, d’écran de fumée. La puissance des logiciels permet d’impressionner, de cacher la misère et les biais de l’argumentation. Comme nous l’avons dit, un simple calcul sur le nombre moyen de victimes par genre de cyclone depuis 1979 permet de constater que les différences ne sont pas significatives.

 

  • Une revue relativement prestigieuse (PNAS) accepte de publier un article qui à la prétention de prédire des choses qu’aucune donnée réellement observée ne conforte : comment fonctionne donc le processus de relecture ? Qui étaient les pairs chargés de la relecture ?

 

  • La lutte déclarée contre les « stéréotypes de genre » autorise-telle qu’on puisse publier à peu près n’importe quoi, du moment que c’est politiquement correct ? Peu importe que l’accusation de sexisme à l’encontre des météorologues qui avaient un temps décidé d’affubler les ouragans de prénoms féminins soit fondée ou pas. Ce qui est ridicule, c’est de les rendre responsables de morts au nom de préjugés répandus dans la population qui seraient exactement inverses à ceux dont on les accuse (femmes douces, passives et inoffensives vs femmes imprévisibles et potentiellement dangereuses). Si les cyclones font des dégats, comment mesurer ceux de l’idéologie, quand celle-ci prétend s’immiscer partout, y compris dans la « cyclonologie » ?

 

  • Bien des journalistes scientifiques ont relayé l’effrayante nouvelle sans le moindre recul. Ont-ils seulement consulté l’étude, ou soumis celle-ci à l’avis de gens qualifiés ? Venant de ceux qui ont la prétention de ferrailler contre les « ennemis de la science » (8), cela a de quoi inquiéter.

 

 

Anton Suwalki

 

Notes :

 

  1. Female hurricanes are deadlier than male hurricanes, www.pnas.org/cgi/doi/10.1073/pnas.1402786111
  2. Voir la traduction française de National Geographic

http://www.nationalgeographic.fr/11451-les-ouragans-feminins-pas-plus-meurtriers-que-leurs-equivalents-masculins/

  1. http://sanscompromisfeministeprogressiste.wordpress.com/2014/06/06/les-ouragans-feminins-sont-ils-plus-meurtriers/
  2. http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/06/02/pourquoi-les-cyclones-du-genre-feminin-sont-les-plus-meurtriers_4430561_3244.html
  3. “Normalized damage” : les destructions matérielles sont évalués en $.
  4. On parle de dépression lorsque la pression atmosphérique descend en dessous de 1013 HP. Les pressions minimum mesurées pour les cyclones étudiés, varient de 909 à 1003 HP, pour une moyenne de 965 HP. Sans surprise, la plus forte corrélation est enregistrée entre cette pressions minimum et l’ampleur des destructions matérielles (-0,56 selon nos calculs). Néanmoins, comme les facteurs sont multiples, on peut avoir des situations de dépression modestes associées à d’importantes destruction et inversement.
  5. Si la relation est- envisageable dans un sens , quoi que non vérifiée dans les données : l’ampleur prévue de la dépression pourrait influencer le nom qu’’on lui attribue, « Attila » plutôt que « Gandhi » , elle est totalement absurde en sens inverse.
  6. Sous-titre du Populisme climatique, ouvrage majeur de Stéphane Foucart.
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En somme, si on comprend bien, trop d’allemands, et pas assez de français, aux yeux de SLC !
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S
Je ne parlerais pas de canular, même si ce genre de thèse prête à rire. La physique n'est évidemment pas sexuée, ou sous influence. Mais le mécanisme psychologique de la projection (ce n'est pas moi, c'est l'autre) est humain, donc universel. Il y a un fond de misogynie en tout homme, qui a pu troubler les analystes de statistiques. Ils auraient mieux fait de s'abstenir!
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G
Je n'ai pas vraiment aimé le ton parfois un peu anti-féminisme de l'article. Et notamment, l'argument principal dans la &quot;contradiction&quot; des stéréotypes de genres. Car c'est un argument grossier et déplacé. Cela crée une insinuation que posé ce genre de sujet est ridicule et anti-scientifique. <br /> <br /> Je m'explique, le fait que des contradictions à la logique existe dans la société ne devrait étonné aucun sceptique. Nous nous battons contre elle. Il y a aucune absurdité dans le fait que plusieurs stéréotypes contraires cohabitent. En réalité, ceux ci sont utilisé par le patriarcat pour différentes justifications.<br /> <br /> Exemple, la femme est considéré comme dépensière et imprévisible (contrairement à l'homme) lors qu'il s'agit de dépense pour son plaisir. Mais dés qu'il s'agit de la tâche de faire les course, les genres s'inversent et l'homme devient incapable et la femme garante de la bonne tenue du foyer. Deux situations sociales différentes, deux stéréotypes différents.<br /> <br /> La question est bonne, mais cette article se la pose pas vraiment en ces termes et l'utilise juste comme argument contre l'étude, alors même que l'étude a essayé de répondre à cette question puisqu'elle a cherché à se validé expérimentalement.<br /> <br /> Malgré tout, je reste d'accord avec la conclusion de l'article, puisque les données semblent insuffisante, et que en dehors de la reproductibilité de la partie expérimentale, le doute reste entier.
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F
Comme l'a très justement fait remarquer le Bilboquet Magazine, dans 90% des cas les météorologistes donnent aux tornades le prénom de leur belle-mère : http://www.bilboquet-magazine.fr/90-cas-les-climatologues-donnent-aux-tornades-prenom-belle-mere/
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E
Et pour les prénoms masculins, c'est ceux de leurs beaux-pères?